Il y a environ 1 an, je regardais sur Netflix le reportage retraçant le parcours d’Anitta, la Beyoncé carioca.
Anitta, j’avais déjà écouté ses chansons mais je ne connaissais pas le personnage. Ce que j’avais vu d’elle: tenues suggestives, poses lascives, paroles « pop » assez bateau. Je pense que la plupart des critiques musicaux – vous savez, ceux qui statuent sur ce qui est absolument bien et ce qui est absolument mal – diraient qu’Anitta est un pur produit de consommation insipide.
En regardant le reportage, je me sentais un peu gênée. J’étais de plus en plus captivée par le personnage et je me disais: « pfff, t’es vraiment influençable! un bon storytelling et te voilà embarquée« .
Non, non, non. Y’avait plus que ça. J’ai vu plus qu’un bon storytelling. Je me suis immergée dans le film de sa vie. Il a fallu que je regarde au-delà de la couche de maquillage, du superficiel, de la chirurgie esthétique. Il a fallu que j’oublie mes aprioris. Et j’ai senti ce qui m’avait vraiment fascinée chez elle.
- sa détermination: Anitta a décidé qu’elle chanterait. Elle l’a fait. Point.
- sa discipline: elle a travaillé à ses rêves chaque jour.
- sa capacité à être résiliente: elle est tombée. Elle s’est relevée. Tomber n’est qu’un apprentissage et fait partie du chemin.
- sa cohérence entre ses paroles & ses gestes, qui la rend charismatique, magnétique, drôle.
Est-ce que ceci est une invitation à devenir fan d’Anitta? Non. J’ai raconté mon expérience, le fruit de mon histoire, de mes ressentis. Elle est personnelle et unique. Comme la vôtre l’est.
Par contre, ce post est une invitation à découvrir ce qui vous met en joie, les valeurs qui vous portent au-delà de la bien-pensance et du conformisme . Y’a parfois des trésors qui se cachent là où vous n’avez encore jamais cherché. En dehors des sentiers battus.